Une réflexion sur “Lettre ouverte à mon Église une sainte catholique et apostolique”
J’entends le cri de cette dame et celui de millier d’autres dont la Petit Thérèse de l’Enfant Jésus. Aussi longtemps qu’il n’y aura pas d’oreille pour entendre, le Royaume demeurera un horizon, alors qu’il est déjà parmi nous (Lc 17, 20-21). On devrait y être. Tout se passe comme si le monde s’en détournait pour se complaire dans ses misères.
J’entends le cri de cette dame et celui de millier d’autres dont la Petite Thérèse de l’Enfant Jésus. Aussi longtemps qu’il n’y aura pas d’oreille pour entendre la voix du Seigneur par quelque canal qu’elle nous parvienne, le Royaume demeurera un horizon. Alors qu’il est déjà parmi nous (Lc 17, 20-21). On devrait y être. Tout se passe malheureusement comme si le monde s’en détournait pour se complaire dans ses misères.
J’entends le cri de cette dame et celui de millier d’autres dont la Petit Thérèse de l’Enfant Jésus. Aussi longtemps qu’il n’y aura pas d’oreille pour entendre, le Royaume demeurera un horizon, alors qu’il est déjà parmi nous (Lc 17, 20-21). On devrait y être. Tout se passe comme si le monde s’en détournait pour se complaire dans ses misères.
J’entends le cri de cette dame et celui de millier d’autres dont la Petite Thérèse de l’Enfant Jésus. Aussi longtemps qu’il n’y aura pas d’oreille pour entendre la voix du Seigneur par quelque canal qu’elle nous parvienne, le Royaume demeurera un horizon. Alors qu’il est déjà parmi nous (Lc 17, 20-21). On devrait y être. Tout se passe malheureusement comme si le monde s’en détournait pour se complaire dans ses misères.